Samedi 16 novembre 2024 de 15 heures à 16 heures Anthony Ferreira (neurobiologiste et philosophe) & Denis Forest (philosophe des neurosciences) Qu’est-ce que l’addiction ? ...
Lire la suiteUn conte à remuer le genre humain ? Possible ? Son auteur vit en hachélém, dans une cité de béton. S’il peine à sortir de son lit de plumes, non pas dans une molle indolence ou un engourdissement de rêverie, il se parle ! Il ne doute pas percevoir un avenir, au-delà de l’horizon ! Il va écrire sur les changements sociétaux indispensables qui illumineront bientôt l’humanité d’un bonheur et d’une vie sans guerres ni méfaits sociétaux. On découvre sa vie de grand bourlingueur, sa multitude de perceptions ou de sensations, ses ébauches de concepts, sa conception d’une humanité à l’embouchure de l’Histoire. Il se souvient des êtres approchés, miettes de souvenirs, mais aussi des visages des hommes, des femmes qu’il contemple. Il revoit le petit cireur de chaussures d’Istanbul, l’hôtesse indienne de New York, l’homme bleu du Sahara, ou celui de l’Hadramaout… Par eux, le lecteur sent la dignité des Hommes sous le poids de la souffrance. L’écriture du conte exige une solitude. Va-t-il révéler cet avenir de lumière, ou pour le moins, ouvrir sa porte ? Une ligne de vie apparait : la politique, l’art, l’amour – triptyque d’une vie active. Un virus risque de contrarier le beau projet au-delà d’un 14 Juillet de rêve.
Auteurs | Jean Rocchi |
Titre | Il va sauter par-dessus l’horizon |
Sous-titre | ou Un rêve de 14 Juillet |
Édition | 1re |
Date de publication | Décembre 2023 |
ISSN | 2492-4997 |
ISBN | 978-2-37361-430-5 |
Support | Papier |
EAN13 Papier | 9782373614305 |
Nombre de pages | 88 |
Dimensions | 14,8 x 21 cm |
Prix livre papier | 10 € |
[page 5] Prologue Éveil du peuple
[page 9] L’encre me crame les doigts
[page 23] Je suis marmotte. On m’évoque un pays : je retrouve un visage
[page 35] Je fais ma valoche
[page 39] Je décanille
[page 47] Je galope des mandibules
[page 63] Je suis encagé
[page 71] Une brasse papillon littéraire
[page 77] Ciel, je suis coincé !