Spécialiste des sciences cognitives et des neurosciences, professeur associé au département de philosophie de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), chercheur au FIASCCO (Fondements de l’intelligence adaptative et des systèmes culturels et cognitifs).
Cent cinquante ans plus tard, la théorie darwinienne de l’évolution reste le paradigme dominant de la biologie et de la paléontologie. Elle prouve sa fécondité et sa puissance explicative dans de très nombreux domaines.
Cent cinquante ans plus tard, la théorie darwinienne de l’évolution reste le paradigme dominant de la biologie et de la paléontologie. Elle prouve sa fécondité et sa puissance explicative dans de très nombreux domaines.